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déjeuner dans un chalet
--> retour du ski 3

 

Nous voilà en haut. Je suis avec un garçon, et je crois bien qu’on a perdu notre groupe. L

Après recherches, nous les retrouvons. On se pose dans un chalet, enfin une sorte de réfectoire à pique-nique. On avaient tous les crocs, alors quand certains (dont moi) on découvert qu’il manquait des couverts pour manger la macédoine qui était notre déjeuner, ça a commencé à s’agiter.

Je ne pouvais pas manger avec les mains, mais j’avais faim quand même. J’ai alors due aller mendier une fourchette à une des filles, je suis allée au WC pour la laver (je sais bien, pas très hygiénique tout ça, mais c’est pas grave j’avais une fourchette !) et zou.

Le repas fini, on est allées dans le chalet resto d’à côté pour prendre un café dans un seul but, celui de se réchauffer.

Et c’est reparti pour une après-midi de ski. J

Le moniteur de ski était revenu, et nous jugeant plutôt bon pour des débutants, et la météo s’étant calmée, il nous fait prendre le télésiège pour aller encore plus haut, et surtout pour changer de piste. Fini les vertes, place à la bleue.

Je suis une des premières à arriver, je regarde la piste, et j’ai peur. Pour une bleue je la trouve bien raide la descente.

Pas de chichi, on se jette à l’eau, le moniteur de ski passe devant, suivi par nous, et le prof ferme le groupe.

La piste était très longue. A mi parcours je tombe, sans me faire mal (merci petite poudreuse). Enfin, je vois le bout de la piste, et rebelote, on reprend le télésiège, puis on attend les autres en haut, etc.

La seconde descente fut moins convaincante, je ne faisais plus que tomber, le moniteur de ski me voyant un peu à la ramasse me prend sous son aile. Il passait devant moi, et je devais aller juste derrière lui, suivre ses traces. J’arrivais quand même à tomber, et le pire c’était toujours d’aller chercher ses skis sur la piste pour ensuite les remettre, facile à dire mais pas facile à faire vu la raideur de la piste, heureusement le mono encore une fois venait m’aider. En même temps j’avais le visage plein de neige, je me décide à ranger mes lunettes de soleil qui sont maintenant toute mouillées.

  Le groupe s’arrête un instant pour attendre une personne qui avait un problème avec un de ses skis. Pendant ce temps, je discute avec le prof, je lui dis que je commence à fatiguer, il me répond que je ne suis pas la seule et qu’une partie va rentrer au chalet, je pourrais donc rentrer avec eux.

Ce devait donc être ma dernière descente de la journée.

 

 

Ecrit par olimpia, le Mardi 24 Février 2004, 19:37 dans la rubrique .